Parlons de la sélection de notre très éclectique Bruno… avec Fleet Commander. Ce type de jeu n’est pas spécialement joué à l’association mais venant, pour ma part de la figurine, je ne peux qu’approuver son choix.

Fleet Commander est un jeu d’affrontement et de placement pour 2 joueurs, avec des vaisseaux spatiaux de Heni Redici et Elwin Charpentier. Initialement sortie en 2014, ce titre a été relancé avec une campagne de financement participatif en 2018. Pour moi, c’est un mémoire 44 dans l’espace. Non pas que les 2 jeux aient la même mécanique générale, c’est plutôt que ce titre a su apporter une simplicité dans un type de jeu qui n’est pas coutumier à cela.

Alors pourquoi jouer à Fleet commander ? Dans un premier temps pour quelques idées ergonomiques qui améliorent la lecture du jeu : socle (avec un disque coulissant) permettant de visualiser les points de vie restants (inventé par la gamme héroclix), capacités spéciales des vaisseaux limités (frégates, destroyers et croiseurs)…

Mais ce qui apporte du neuf avec ce titre, c’est sa fluidité grâce à ses dés spéciaux. À chaque tour, on choisit de lancer trois dés parmi neuf. Il y a 3 dés qui peuvent servir à se déplacer, 3 pour tirer, et 3 pour activer ses boucliers. Ces dés vont notamment indiquer la direction de l’action (orthogonal, toutes les cases autours…). A son tour, un joueur va attribuer un dé à une case de jeu (et donc tous les vaisseaux posés sur celle ci) ou les stocker sur sa passerelle (afin de l’utiliser plus tard notamment la défense). Des faces spéciales permettent aussi de générer une retraite, une riposte mais également modifier la face d’un dé. Ce Ludochrono vous permet de vous faire une petite idée.

On pourrait aussi parler de son temps de jeu ramassé, de la possibilité de jouer en équipe… Vous l’avez compris, je suis du même avis que Bruno pour vous conseiller ce titre de Capsicum Games. Je ne pense pas que ce jeu soit disponible actuellement dans vos boutiques Troyennes. Il faudra plutôt se tourner vers le marché de l’occasion.

Béatrice a sélectionné pour vous un jeu coopératif qui a remporté un vrai succès en 2020. Sélectionné à l’As d’or en 2021, il a malheureusement perdu face à The crew (un jeu de pli coopératif). Si la survie vous tente, que vous avez toujours voulu faire vibrer votre corde artistique en peignant des peintures rupestres , et bien Paléo est fait pour vous !

L’objectif est de garder en vie sa tribu le plus longtemps possible et d’arriver à peindre une fresque dans votre caverne d’ici la fin de la partie.

Vous allez aborder le paléolithique avec 2 humains possédant des points de vie propres. Votre dilemme qui revient fréquemment va être de savoir où vous voulez vous rendre et ce choix se fait à partir d’une illustration sur le dos de carte (une foret cachera t elle des baies pour se nourrir ou un prédateur à l’affut ?)

Bien sur l’entraide est important pour pouvoir passer les phases de nuit où il fait se nourrir pour survivre. Cette simplicité mécanique nous permet de ressentir des émotions et de se raconter une vraie petite histoire.

Voici une vidéorègle qui précise le fonctionnement de ce jeu de Peter Rustmeyer :

Alors oui, ce jeu possède une touche de hasard important mais n’est ce pas le cas dans la vraie vie ? La scénarisation des parties avec plusieurs paquets thématiques permet un fort renouvellement des évènements. Vous l’avez compris, Béatrice a bon goût avec ce titre encore original aujourd’hui.

Cela fait 15 jours que je n’ai rien posté ici, toutefois, stratéjeux n’est pas en hibernation comme un troll narcoleptique… On va dire que son secrétaire est atteint de flemmardise aigu. Le Blood bowl team manager et la carte magnétique défectueuse de vendredi dernier, ont pas mal grignoté le temps disponible que j’ai pour l’association.

Mais revenons, motivé, avec deux informations de la plus haute importance

information 1 : En ce moment, c’est les vacances scolaire et nous migrons vers la médiathèque des chartreux (notre ancienne salle) le 27/10/ 2023 et le 03/11/2023.

information 2 :

Les 9 et 10 décembre 2023, six associations ludiques se réuniront pour une cause noble, le Téléthon, dans un événement caritatif qui promet de plaire à tous les âges. Un festival pour tous les amateurs du jeux de société avec les associations ludiques troyennes : Arts et Jeux Sancéen, L’Association de Jeux d’Histoire Auboise (AJHA), Dice & Retry, La Rencontre Des Joueurs (RDJ) et Le Réveil de l’Aube

Mais ce n’est pas tout ! En plus de toutes ces activités ludiques, le Festival Du Jeu Associatif proposera une buvette !Tous les bénéfices iront au Téléthon : une cause qui soutient la recherche médicale et les personnes atteintes de maladies génétiques rares.

Des infos ici :

https://www.facebook.com/events/1029136344877211/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v

Je posterai, dans la semaine un ou 2 articles sur la séance de ce soir ou une recommandation de membre (la prochaine, c’est Béatrice et son Paléo)

En ce vendredi, beaucoup de jeux de cartes sont sortis sur nos tables…

Commençons par Knarr, nouveau jeu de chez bombyx de Thomas Dupont (auteur de Codex Naturalis chez le même éditeur).

Une direction artistique toujours au top, très influencée bande dessinée (même si ça ne veut pas dire grand chose). Ce jeu de combo et de collection nous permet de découvrir l’aspect commerçant de cette peuplade nordique. Le principe reste très simple : en jouant une carte, nous activons un effet ou nous partons en expédition pour récolter des points. L’aspect de course est également présent car dès qu’un joueur atteint les 40 points, le déclenchement de fin de partie a lieu. Alors, à votre avis, est-ce le plus barbus d’entre nous qui a remporté la victoire ?

Ensuite nous avons foré une mine d’or avec My gold Mine, jeu familial qui amorce une nouvelle collection chez Iello. Cette vidéo de ludovox vous permet de découvrir les premiers titres de cette gamme :

Comme vous pouvez le voir, ce jeu offre de micros-choix entre récupérer de l’or ou s’enfuir. Vous avez compris, la fourberie était de mise, plus d’une fois.

Enfin, nous avons essayé un jeu qui coche pas mal les thèmes des jeux actuels : la construction d’un tableau avec une ambiance nature. Il s’agit de Flourish de chez Matagot. Ce titre consiste à construire un jardin de manière compétitive ou coopérative. Voici le principe expliqué en 4min :

Inutile de dire que le jardin construit dans le jeu est bien plus réussi que celui que j’ai difficilement essayé de faire pousser au fond de mon terrain !

C’est le milieu de semaine et donc, place à la recommandation des membres. Cette fois ci, c’est Florent qui nous emmène à New York avec le Parrain édité par CMON dont les mécanismes sont élaborés par Éric Lang.

L’édition est juste parfaite pour s’immerger dans ce titre : figurines de gangsters, coffre pour stocker l’argent blanchi, plateau immense, livret de 24 pages richement illustrées pour un jeu relativement abordable niveau règles.

Alors en quoi consiste Le parrain ? Vous devez jouer de votre influence sur la ville de New York en plaçant vos hommes de main. Globalement, ce jeu mélange habilement pose d’ouvriers et majorité.

A son tour, un joueur réalise une action jusqu’à ce que tous aient passé : on peut placer un membre de sa famille ou un voyou sur la carte  permettant ainsi de récupérer des bonus (argent, cartes contrat…), jouer une carte récupérée précédemment par un système d’enchère ou jouer une carte contrat (cette composante apporte un chaos lié au thème mais qui ne peut pas plaire à tous : on pique de l’argent aux autres…). La fin de manche se termine par une collecte de revenu où les joueurs peuvent stocker leurs magots dans un coffre métallique !

Cette courte vidéo vous permet, à la fois de voir le matériel et survoler les principes de bases.

Un jeu, c’est avant tout une expérience ludique et globalement, les mécaniques s’imbriquent tellement avec le thème que les émotions sont là. On essaye d’impressionner Corleone et les retournements de situations font qu’on se rappelle de ses parties. Pour ma part, j’ai  testé ce jeu chez l’ami Arnaud ! Que demander de plus !

Lors de cette soirée du vendredi, dix membres ont fait le déplacement pour se mettre autours d’une table et « taper du carton ! »

Du plus léger, au plus complexe, il y en avait pour tous les goûts.

Commençons par Expéditions autour du monde édité par Super Meeple et apporté par Samuel et Clara. Je vous avais déjà parlé de ce jeu inventé par Wolgang Kramer lors de mon compte rendu du festival de Parthenay. Un titre qui date mais qui n’a rien perdu de sa simplicité et le rend encore moderne. Familial par essence, je le conseille fortement (à offrir ou même s’offrir) …

Pour vous rendre compte du fonctionnement du jeu, Clara vous conseille la vidéo de Simon du Passe-temps :

Pour le 2ème jeu, c’est Renaud qui nous a apporté un jeu de la  gamme 1900. Niché dans une petite boite bien remplie cette collection de jeux espagnols vous propose de revivre des évènements issus du 20ème siècle (création de l’ISS, du tunnel sous la manche et même prochainement, l’invention du 1er film de Méliès).

Dans 1923 Coton Club, les joueurs gèrent un club en pleine Amérique sous la prohibition. Mécaniquement, ce jeu de Pau Carles propose une pause d’ouvriers permettant de récolter : des truands, de l’alcool, des artistes (matérialisés sous forme de cartes) afin d’attirer des célébrités de l’époque dans notre bar. L’achat de ces cartes nous permet essentiellement de récolter des icônes engendrant des réductions et de faire varier notre influence sur plusieurs pistes : banditisme, attractivité (pour recruter des stars nous rapportant des points de victoire), initiative (ordre du tour).

En six manche, le jeu est fluide et commence toujours par une phase où les joueurs peuvent jouer une carte évènement cachée qui sera révélée et activée en fin de manche. Cette idée, la gestion de ne pas trop utiliser la pègre (apportant des points négatifs),  une thématique inhabituelle et son prix réduit (25 euros) donnent une originalité à ce jeu.

Nos Arnaud se sont frottés à un titre de la trilogie de l’Ouest de Sean Philips : Paladin du Royaume de L’Ouest. Moins interactif qu’Architectes, les joueurs vont poser des ouvriers sur un plateau personnel après une phase de draft apportant des ouvriers plus ou moins qualifiés. Bien sur les actions vont, parfois nécessiter une couleur de meeples spécifiques ou un nombre particulier

Rien de bien innovant à la description mais le tout s’imbrique bien, l’ergonomie est fantastique, le hasard peu présent. Le titre de paladins provient de cartes personnelles dont on place une au-dessus et l’autre au-dessous, en début de tour, apportant des avantages et des surprises  (bonus en habilité, amélioration de certaines actions…). Il faut donc s’adapter et faire des choix qui brisent nos neurones pendant 1h30 de partie.

Le titre le plus expert de la soirée a été Brass Birmingham apporté par Fred. Ce titre de Martin Wallace a une bonne présence sur table, comme vous pouvez le voir !

Comme je suis limité en terme de caractères et que je suis d’une nature paresseuse, je vais vous conseiller une vidéo si vous voulez savoir comment ça se joue…

A votre avis qui de Fred, David, Sebastien ou David « petitpetons » a gagné cette partie ?

C’est déjà le milieu de semaine et place à nos recommandations, cette fois-ci, c’est Clara qui s’y colle avec Coal Baron… L’image ci-dessous, vous présente « nos prochains focus » dans les semaines à venir …

Clara a choisi un titre qui colle avec l’actualité car Coal Baron va sortir courant octobre, porté par une toute jeune structure éditoriale : Passe Ton Tour Games. J’ai pu les rencontrer au festival de Partenay, cette été, et ils ont pour ambition de sortir 4 jeux en fin d’année (avec en plus Reigns, Quadri et l’Aventure fabuleuse).

Ce titre a été financé par kickstater et cette vidéo explicative des recettes ludiques vous permet de comprendre les mécanismes principaux et de visualiser le matériel :

Mais Coal Baron a déjà eu une histoire en France…

C’est tout d’abord un jeu inventé par un duo d’auteurs mythiques : Wolfgang Kramer et Michael Kiesling (créateurs entre autre de la trilogie des masques : Tikal, Java, Mexica (et leurs nouvelles itérations chez super meeple). En solo, chacun a également créer 6 qui prend pour l’un et Azul pour l’autre)… Des immenses vedettes donc…

Ensuite Coal Baron a précédemment été édité par Gigamic sous le titre de Gueules noires. Longtemps épuisé, il s’arrache à prix d’or sur les sites de vente de jeux d’occasion. Voici un aperçu de son ancien matériel :

Ce jeu de pose d’ouvriers pour 2 à 4 joueurs vous plonge dans la gestion d’un complexe de l’exploitation minière, au 19ème siècle, dans le nord de la France. Il est calibré pour être un titre initié.

Coal baron est classique sur son principe : on collecte des matières premières, on les transporte et on les livre pour remplir des contrats mais ses auteurs ont apporté 2 innovations qui apportent un twist intéressant :

-Nous possédons, devant chaque joueur, un ascenseur au cœur de sa mine, qui ne fait que monter et descendre. Sa gestion n’est pas si simple et demande un peu de prévision pour être efficace (on retrouve un peu cela dans Otys)

-Ce jeu repose sur la pose d’ouvriers sur des emplacements uniques. Ceux ci ne sont pas bloquant pour les joueurs, en effet, pour réaliser l’action déjà prise par un adversaire, il suffit de payer plus d’ouvriers que son prédécesseur.

On ajoute à cela une dose de majorité, pas mal de questions et de choix… La recette est là pour avoir un jeu agréable, qui tourne. Espérons que cette réédition porte chance à Passe Ton Tour Games, jeune éditeur français qui se lance dans un marché tellement concurrentiel.

Pour cette rentrée associative, les membres de STRATEJEUX vont faire une série d’articles sur un titre qu’ils apprécient. Pas sur que le jeu soit disponible dans nos boutiques Troyennes partenaires mais si vous voulez venir nous rencontrer les vendredis soirs pour les tester, on vous accueillera avec plaisir…. Voici une image qui montre nos prochaines recommandations (je vais les publier chaque milieu de semaine) :

Comme on n’est jamais mieux servi que par soi même, je vais commencer par ma sélection : Corto, jeu reprenant la licence de la bande dessinée romanesque éditée par une petite structure Ludocom et épaulé par Matagot. Aux manettes de ce titre : deux auteurs majeurs français : Sébastien Pauchon et Laurent Escoffier.

Alors pourquoi conseiller un jeu à licence, assez chaotique au niveau des sensations ? Et bien en premier lieu pour la beauté de l’édition : les cartes sont issues de cases de bd (ah le dessin de Pratt) et sont particulièrement bien adaptées car lisibles, les figurines de Corto et de Raspoutine font vibrer la corde sensible de l’ancien figuriniste que je suis. Dans un second temps, c’est l’aspect licence. Je suis un grand collectionneur de bandes dessinées et en 2013, Corto était un des premiers jeux à « licence bd » à sortir dans le monde ludique. J’avais pu découvrir en exclusivité, ce titre à Paris est ludique en compagnie de ses deux auteurs.

Parlons de la mécanique principale, le plateau central est constitué de bandes qui représentent chacunes une aventure de Corto Maltèse. Chaque zone a sa pioche attitré. A son tour, les joueurs vont placer une carte de sa main sur une bande de manière adjacente et vont placer des jetons de sa couleurs. L’objectif est de construire des zones adjacentes assez grande et d’obtenir des majorités.

Les retournements de situations sont réguliers si bien qu’on ne contrôle pas toujours énormément le déroulé du jeu : arme qui élimine un jeton d’un autre, pion Raspoutine ou Corto transforment les couleurs de jetons. La pioche apporte également une vraie part de hasard. ça ne peut pas plaire à tous les joueurs, j’en suis conscient.

Pour vous donner plus de précision sur la mécanique, voici un Ludochrono qui résume l’essentiel :

L’intérêt principal de ce titre est également de proposer des mini règles par bandes qui forment le plateau central. Cet apport permet de coller aux romans graphiques d’un point de vue thématique. Il existe une mini extension basé sur une fable à Venise.

Je ne vais pas vous dire que ce jeu est exceptionnel mais il a compté dans ma découverte du monde ludique. Je voulais également parler d’un titre plus ancien… Alors, avez vous envie de l’essayer ?

Après une courte assemblée générale qui parle de nos nouveaux statuts et nos partenaires sur Troyes (compte rendu que vous allez recevoir par mail), nous nous sommes penchés sur deux titres dont leurs maisons d’édition respectives ont eu des difficultés financières, cette année.

Globalement, joueur que nous sommes nous n’avons pas grand-chose à leur reprocher. Le monde ludique est de plus en plus impitoyable et la concurrence est donc rude…

Commençons par Museum, jeu de Olivier Mélison et Eric Dubus par Holy Grail Games.

Dans cet opus nous sommes des directeurs de musées au début du siècle dernier et nous devons gérer au mieux notre établissement en récoltant des œuvres et les exposer sur notre plateau personnel. Après avoir piocher une carte évènement historique (qui modifie légèrement les règles de la manche), des œuvres vont être mis à disposition pour les musées. Celles-ci proviennent d’une des 4 régions du monde et ont pour caractéristique une couleur (type de civilisation) et parfois un symbole qui représente une catégorie. (Arme de guerre, sculpture…).

Les joueurs vont pouvoir, dans un premier temps en récolter puis faire une action lors de son tour. Globalement, la principale action consiste à placer des cartes dans son musée lui permettant de récolter des points de victoire. La fin de partie se déclenche dès qu’un joueur dépasse les 50 points. Pour pouvoir réaliser ce placement, il faut pouvoir payer son cout en défaussant, de sa main, des œuvres et les rendant ainsi disponible aux autres. D’autres détails sont également présents comme les experts qui améliorent nos collections, l’optimisation de nos salles de notre musée pour exposer efficacement les cartes de la même famille de manière adjacente. Il faut, aussi gérer l’opinion publique des différents continents qui n’apprécient pas toujours le fait qu’on pille les objets de leurs histoires (engendrant des points en négatif !).

Ce titre est excessivement bien édité avec des illustrations de Vincent Dutrait, toutes différentes et des textes décrivant les œuvres. Culturellement, le jeu est excellent. Mécaniquement, ce titre manque toutefois de dynamisme… Ce n’est que mon avis à chaud. Bravo à Béatrice qui a su habilement exposer des œuvres du monde entier coiffant au poteau ses 3 autres adversaires portant des vestes de costumes poussiéreux (tenue de circonstance pour quelqu’un travaillant dans un musée ou une bibliothèque [désolé Cédric]).

Continuons avec Time of empires un jeu de civilisation très original développé par Pearl games (éditeur pas assez rentable pour le géant Asmodée ?)… Durant 3 âges, les joueurs vont développer leurs peuples mais ce qui fait l’originalité du jeu, c’est son aspect en temps réel en utilisant des sabliers. Un âge dure 9 min et les joueurs jouent en même temps avec une petite musique d’ambiance. Cette vidéo vous donne une idée de la chose :

La boite de ce jeu (assez grande) est bien pleine car elle comporte des plateaux joueurs bien larges permettant de retourner des sabliers sans tout faire tomber. Cette gestion de ces timers permettent aux joueurs de placer des érudits, gérer des majorités, placer des troupes sur un plateau central mais aussi récupérer des cartes. Les codes d’un jeu de civilisation sont là mais la simultanéité peut être clivant (on en sort fatigué, on doit réfléchir rapidement, on joue dans son coin…). On a quand même un jeu réellement original qu’Alexia peut vous faire tester si vous venez à l’association…

Retour sur notre cession de fin de vacances : le 1er septembre 2023. Le mot clé était : GESTION

GESTION d’une maison (on vise petit !) avec Dreams home. Dans ce titre, l’objectif est de construire une belle maison mais attention chaque pièce choisie doit être collectée avec intelligence. Pas de maison sans salle de bain, pas de chambre trop grande, ni de piano dans les toilettes.

Je ne sais pas si David a été un bon décorateur d’intérieur ce vendredi !

Voici une vidéo qui explique la mécanique principale de ce jeu familial :

GESTION de civilisation (on vise très grand !) avec Age of civilization

On retrouve tous les poncifs du genre avec les merveilles, les batailles, les ressources…Nous allons choisir une action parmi plusieurs disponibles mais attention, celles-ci évoluent au cours de la partie. Les joueurs vont petit à petit se perfectionner en montant sur un arbre de technologie… Mais comment on active ces actions ? Et bien grâce à des ouvriers qui peuvent être éliminés en cours de partie… Ce ludochrono vous donnera une petite idée de ce titre.

Pour information, nous nous retrouvons au centre Renée Peltier dès le 8 septembre. Bruno fera une assemblée générale exceptionnelle pour parler des partenariats vis-à-vis des boutiques locales mais des récents changements du bureau. A la semaine prochaine.