Séance du 23 Septembre 2022

Beaucoup d’animation et de jeux différents, ce soir…

Un groupe a peaufiné « la taille de barbe » avec 2 jeux de barbus :

Dans un premier temps, nous nous sommes plongé dans une multitude de coups fourrés à l’époque des pirates avec Libertalia. Et c’est filament Kevin, le plus imberbe de nous 5, qui a réussi à tirer son épingle du jeu. Sur le principe, Libertalia repose sur le choix de carte pirates avec effets en « sentant » le meilleur timing pour pouvoir éliminer ses adversaires et récupérer un maximum de trésors. L’intérêt est d’enchainer plusieurs journées avec un nombre limité de cartes (6) sélectionnées, en début de manche parmi 40. La re jouabilité de ce titre de Paolo Mori est énorme et le jeu est rapide malgré le fait de jouer à 6.

Ensuite, c’est Nidavellir qui est sorti. Chaque joueur nain doit recruter des collections de personnages à partir d’une enchère assez originale. En perdant volontairement une enchère un joueur peut ainsi améliorer ses pièces qui lui permettront de miser plus fort à la manche suivante. Ce jeu de Serge Laget et édité par Grrre Games est une grande réussite éditoriale.

Un autre groupe (dont Jean-Jacques qui nous avait manqué) a décidé de se plonger au cœur du quartier de Nihonbashi au Japon, durant l’ère edo avec Iki .Chaque joueur doit veiller au bien-être et à la prospérité de la ville et de ses habitants. Il faut recruter les bons artisans et les placer correctement pour optimiser ses points. Comme toujours dans ce type de jeu, les contraintes sont fortes et on ne peut pas tout faire, d’autant plus, qu’il faut nourrir ses habitants.

Ce jeu de Koota Yamada a été réédité par Sorry We Are French et a été sélectionné pour l’as d’or Expert 2022. Il colle, notamment, extrêmement bien à la réalité historique car les joueurs, en plus de tirer leurs épingles du jeu, doivent lutter contre des incendies dévastateurs.

Pour finir, un dernier groupe a bravé l’horreur, l’indicible et a cherché à conserver leurs santés mentales en se frottant aux demeures de l’épouvantes de Corey Konieczka. C’est un jeu, narratif, d’exploration hybride. Jusqu’aux confins de la nuit, les corps ont été mis à rude épreuve. Jordan (nouveau membre émérite de l’asso) a joué un stéréotype de film d’horreur : celui qui va voir tout seul dans son coin l’endroit d’où proviennent des bruits étranges. Arnaud mérite un haut-fait pour avoir tanké la maigre bête de la nuit avec Wendy Adams pendant près de 7 rounds. Quant à Romain, cette partie lui a donné des sueurs froides, l’empêchant de dormir… Il a du ingurgité un cocktail de Café, Berocca et re-Café pour entamer sa journée du samedi.

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