Séance du vendredi 14 octobre

Pour cette séance, de nombreux jeux issus de notre armoire ont pris l’air comme par exemple Twin it. On peut également citer Love letter avengers apporté par David « Bilou ».

Faisons comme d’habitude un focus sur 3 titres, en particulier.

Commençons par le plus connu : Pandémie de Matt Leacock. Ce jeu coopératif a été détourné par l’auteur à maintes reprises : on peut citer du plus léger : l’ile interdite au plus complexe pandémie Légacy. Dernièrement une version star wars vient même de voir le jour, c’est dire si c’est un jeu qui a du succès !

Dans pandémie, vous jouez le rôle de médecin, chercheur (…) essayant tant bien que mal d’arrêter la propagation de 4 virus dans le monde. Votre objectif principal est d’optimiser vos déplacement pour fabriquer les 4 vaccins nécessaires au déclenchement de la fin de partie. Pour cela il suffit de collecter 5 cartes d’une même couleur et de les défausser dans une station de recherche construite par les joueurs. Le système de jeu repose sur « la phase joueurs » où on a 4 actions à dépenser pour se déplacer, traiter de maladies… Ensuite, comme tout bon coopératif, vient la phase du jeu… et donc où les maladies se propagent.

Et c’est là où ça devient compliqué, à chaque fin de tour d’un joueur, les virus se multiplient et les villes préalablement infectées vont continuer à morfler jusqu’au moment où une éclosion peut apparaitre. Cette situation catastrophique engendre petite à petit une défaites des joueurs. Il faut donc rester vigilant et arriver à bien se coordonner entre joueurs. Ce jeu est réellement un classique.

Continuons notre focus sur le jeu Lueur édité par bombyx. Ce titre est un jeu de gestion de dés. Le monde de lueur est totalement en noir et blanc et les joueurs gèrent, au mieux, une compagnie qui va explorer le monde pour collecter des fragments de lumières (autre nom des points de victoire).

Le pitch et la qualité du titre a de quoi séduire mais parlons un peu des mécaniques. Bien souvent, ce jeu se joue en simultané mais globalement un joueur va recruter un compagnon parmi 5 nous donnant des aptitudes (nouveau dés à lancer, points de victoire…). Ensuite c’est la phase de lancé de dés puis de relance (moyennant un coup). Puis, les faces des dés nous imposent l’activation des personnages de notre compagnie (en bien ou en mal) et pour finir les joueurs explorent la carte.

Ce titre est rapide et nous donne des sensations que je trouve inédite comme : « mince, mon mauvais lancé me fait perdre un compagnon qui score beaucoup en fin de partie ! » Vendredi, Joseph a su pendre l’avantage avec ses compagnons spécialisés dans le feu mais c’est sans compter la capacité exceptionnelle de David d’explorer la carte de monde si bien qu’il nous a tous coiffé au poteau ! En même temps, il faut toujours laisser gagner le président de l’association !

Terminons par le jeu Sagrada qui nous propose d’être artisan vitrailliste… à 2 mois de l’ouverture du musée du vitrail à Troyes, on est dans l’actualité.

A son tour, un joueur collecte un dé et doit le placer sur son vitrail personnel. Comme tout type de jeu, on ne peut pas faire n’importe quoi et les contraintes de placement sont fortes : on ne peut jamais placer un dé à coté de la même valeur et la même couleur. De plus, d’autres contraintes s’ajoutent permettant ainsi de rapporter des points de victoire.

Voici là un excellent jeu dont les règles sont simples mais des sensations qui sont loin d’être simplistes. A tester de toute urgence si vous ne connaissez pas.

Sinon, la soirée s’est continué tard dans la nuit avec le jeu Troyes. Et pour une fois Avril n’a pas oublié sa bouteille d’eau !

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